Les turbulences de la vie et de la guerre ont brisé Adélaïde. Seule la très ancienne affection de Florent éclaire encore ses journées. Et ce dernier, devenu un couturier célèbre dans le monde entier, n'a pas été épargné lui non plus : il entretient désormais une liaison agitée avec un acteur. Il va devoir une fois encore soutenir sa vieille amie car Adélaïde finit par tout apprendre sur son défunt mari... mais est-il encore temps de souffrir ? Les destins se heurtent et se conjuguent à la recherche d'une sérénité incertaine et toujours dérobée. Même si le sort en est jeté, les personnages ballottés par la vie conservent, envers et contre tout, le goût du bonheur...
Mon opinion: J'ai lu le 1er et le 2ème volet avec tellement d'enthousiasme, Florent m'a déçu, je m'attendais à mieux. Le personnage de Florent reste en second plan, malgré le titre et malgré l'ampleur de son drame relié à son homosexualité. Selon moi, les demi soeurs Léa et Leah sont beaucoup plus intéressantes et je pense que Marie Laberge aurait fait mieux en développant la relation entre ces personnages. Je me suis ennuyée sur ce livre et je pense sincèrement qu'il est de trop dans la trilogie. Je laisse quand même quelques étoiles parce que j'adore son style d'écriture.
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merci de nous y inviter
RépondreSupprimerbonne année
Bonsoir Gélisa,
RépondreSupprimerC'est un peu comme "Autant on emporte le vent" ?
Mon genre littéraire est plutôt fantastique, policier, histoires vraies mais non sordides, poésie, .... Je n'ai jamais lu de livre de type "romance" ... Je ne sais d'ailleurs pourquoi ?
Le résumé que tu as écrit semble intéressant. Pourquoi pas ... Par ailleurs, cela va m'obliger à me bouger pour refaire ma carte de bibliothèque, sourire.
Je t'embrasse ma belle.
Merci de cette critique!
RépondreSupprimerUne belle et bonne année à toi!
-xxx-
@ Enfer Noir
RépondreSupprimerLe style de Marie Laberge est très imagé, elle présente les troubles de l'âme avec une clareté et une délicatesse peu commune.
J'ai aussi beaucoup appris sur la vie de la bourgeoisie québecoise, entre deux guerres, alors que le peuple se mourrait de misère et qu'eux, tentaient de se remettre du crash boursier.
@ Lilia, Ame tourmentée
RépondreSupprimerMerci de votre passage.
Bises à vous deux
Bonjour je viens de lire ton message je dois partir je ne suis pas trop lecture tu sais pas assez de temps ou ce n'est pas mon dada mais merci pour ton blog c'est agréable de venir s'y promener. passe donc une belle fin d'aprés midi et encore merci à toi
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